Sujet: Angels lie to keep control▲ herra' Dim 19 Mai - 16:28
MASIH, BAGHEERA
:
10 mars 1990 à Karachi au Pakinstan ( 23 ans.)
SEXE :
Femme.
ORIGINE DE LA DEMANDE D'ADMISSION :
✔ patient lui-même ❒ famille, entourage ❒ service ou institution sociale ❒ police ou pompiers ❒ SOS médecin ou SAMU ❒ médecin de famille ❒ généraliste de garde ❒ psychiatre, psychologue privé
✔ patient venu seul ❒ famille ou ami ❒ personnel d'un service social ❒ personnel de secteur ❒ ambulance, VSL ❒ pompiers ❒ SAMU ❒ police ❒ autre (précisez)
DATE DE L’ARRIVÉE :
10 mai 2013.
HEURE DE L’ARRIVÉE :
22 :22.
TROUBLE(S) IDENTIFIÉ(S) :
amnésie, terreurs nocturnes & troubles du comportement ( crise de colère, de larmes, de panique, mutisme soudain … )
DÉLIT(S) :
/
DEGRÉ DE DANGEROSITÉ :
peu dangereuse, quoi qu’elle peut être capable de tout lors de ses crises.
BAGHEERA MASIH
par docteur wilson
Elle est arrivée, seule, à une heure qu’elle disait sacrée, avec pour seul souvenir de son ancienne vie sa carte d’identité. Bagheera Musih. Atteinte d’une amnésie totale, elle ignorait qui elle était, d’où elle venait, pourquoi elle était ici. Mais elle était là. J’ai pu remarquer de diverses marques de coup sur son corps et un certain vide dans son regard comme si sa vie toute entière n’avait été faite que de ça. Parfois, elle semblait presque normale, discrète et froide, sans réel but mais j’avais pourtant l’impression que son enfermement à Giercliff ne l’atteignait pas ou en tout cas ne la rendait pas particulièrement malheureuse, comme si être ici ou ailleurs ne changeait rien pour elle. Je lui avais posé de multiples questions concernant sa vie passée, et jamais elle ne m’avait répondu. Elle s’enfermait la plupart du temps dans un mutisme total en me regardant vaguement, comme perdue dans une autre monde, bien loin de celui où nous nous trouvions. D’autres fois, elle répondait juste qu’elle ne savait pas. Et puis quelques jours plus tard, j’avais découvert en elle une toute autre personnalité. Si on la contrariait, de violentes crises de colère la prenait. Celle à laquelle j’avais pu assister avait fini par lui faire arracher le collier autour de son cou, me le jetant aux pieds, hurlant et pleurant tout à la fois. C’était aussi incompréhensible qu’imprévisible. Des cris, des pleurs, des peurs soudaines. Et puis plus rien, le silence, sa voix qui s’éteint. Elle peut vous insulter comme ignorer totalement votre présence. Elle peut paraître totalement normal et partir en crise quelques secondes plus tard. Avec elle, vous ne savez pas ce qui vous attend. Pourtant, quelque chose déclenche toujours ses crises : une contrariété, un élément qui la rend anxieuse, un souvenir qui ressurgit. Un seul mot peut la rendre hystérique, une seule geste peut la faire sortir de ses gongs. Même la nuit alors que la plupart des patients sont calmes elle est secouée de terreurs nocturnes. Souvent quelques heures après s’être endormie elle se réveille en sursaut et hurle pendant de longues minutes avant de se r’endormir sans qu’on ne puisse rien y faire. Au niveau de son intégration, elle évite beaucoup le contact avec les autres et peur rester seule pendant des heures sans que cela ne lui pose un réel soucis. Néanmoins, elle parait aimer écouter les autres et semble avoir envie de les aider. Elle n’est pas foncièrement dangereuse pour eux mais mieux vaut qu’ils s’écartent d’elle et la laisse dès qu’une crise commence car on ne sait exactement où cela s’arrête. Froide, mystérieuse et blessée par un passé enfoui au fond d’elle, je ne l’ai encore jamais vu sourire.
L&A
-
16 ANS
-
PHOEBE TONKIN
« Il y a des fous partout, même dans les asiles. »
Dernière édition par Bagheera Masih le Lun 20 Mai - 18:07, édité 5 fois
BIENVENUE A GIERCLIFF
PRESENCE : peu.
ÂGE : vingt trois ans.
TROUBLE(S) : Amnésie ( simulée ), troubles de comportement ( crises de colère, de larmes, mutisme soudain ) & terreurs nocturnes.
Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Dim 19 Mai - 16:28
My mind in trouble
tout ce qu'il y a à Savoir sur Bagheera:
Bagheera a toujours été très proche de son père alors qu’elle était au contraire totalement distance avec sa mère. Malheureusement, son père mourut alors qu’elle était encore bien jeune. ▲ Sa mère se remit bien – trop – vite avec un autre homme, que tout le monde trouvait – trop – parfait. Bagheera le détesta bien sur tout de suite puisqu’il prenait la place de l’homme qu’elle avait aimé le plus au monde ; son père. ▲ Elle avait à peine dix sept ans quand son beau père commença à la maltraiter. Ayant perdu son travail, il passait ses journées enfermé chez lui et se servait de Bagheera comme défouloir. Au départ, c’était des coups partout sur le corps. Puis des viols. A répétition. Sans que personne ne s’en aperçoive. ▲ Ce n’est que quand elle eu vingt trois ans qu’elle avoua tout à sa mère, blessée et torturée, elle ne pouvait plus supporter une seconde de plus la cause de sa douleur et voulait que sa mère ouvre les yeux sur l’homme qu’elle disait « parfait ». ▲ Personne ne l’a cru et tous la traitèrent de folle. Alors ce fameux 10 mai, la jeune fille fugua de chez elle et disparu sans laisser de trace pour arriver ici. ▲ Elle n’était pas heureuse, elle détestait le monde et la vie en général, pourtant elle n’avait jamais essayé de se suicider, non, puisqu’elle était habituée à la douleur. Elle haïssait sa famille pour ne jamais l’avoir aidé, elle haïssait son beau père pour toutes les horreurs qu’il lui avait fait subir, elle haïssait sa vie de martyre et elle crachait sur dieu et toutes ces croyances qu’elle disait idiote. Si Dieu existait, pour elle, il vivait en enfer. ▲ En arrivant ici il y a quelques semaines elle simula une amnésie totale afin que tout le monde la croit bien malade. C’était autant pour pouvoir rester ici que pour avoir l’illusion qu’elle ne se souvenait plus de rien. A vrai dire, son plus grand souhait serait de réellement oublier toutes les horreurs qu’on lui avait fait subir, autant physiquement que mentalement. ▲ Sans doute à cause de toute cette souffrance intérieure comme extérieure, Bagheera est atteinte de réels troubles comportementaux. Pour des raisons diverses, allant d’un simple geste qui ne lui plait pas ou à toute autre contrariété Bagheera peut être prise de diverses crises, de colère souvent, de larmes parfois et même de panique et de peurs. Elle peut passe de ce type de crise à un mutisme total sans que personne ne sache pourquoi, à part elle-même. C’est un combat intérieur qui se joue en elle, et elle a besoin de laisser ressortir toutes ses émotions à l’extrême pour se sentir exister. ▲ La nuit aussi il lui arrive bien souvent d’être atteinte de crises appelaient terreurs nocturnes. Au bout de quelques heures de sommeil elle se réveille en sursaut, s’assoie généralement dans son lit, les yeux vides et perdus dans le vague et hurle des tas de choses incompréhensibles pour les autres. Son rythme cardiaque s’accélère, elle tremble, sue, devient pâle ou au contraire rougit intensément puis la crise s’arrête après de longues minutes sans que personne ne puisse rien y faire, car même si on essaye de l’arrêter, cela n’aura d’autre effet que de la faire crier encore plus. Bagheera ne se souvient pas de ce type de crise le lendemain matin et c’est d’ailleurs l’un des sujets sur lequel il ne faut pas s’attarder pour éviter sa colère. ▲ Elle aime la solitude et cela ne la dérange pas de passer des journées complètes totalement seule, errant ici et là du bâtiment. Néanmoins, ceux qui lui parlent savent à quel point elle peut être une oreille attentive. En écoutant ou voyant les problèmes des autres, elle se sent vivre, car elle sait qu’elle n’est plus seule dans sa douleur.
« On ne vient pas dire bonjour à son beau papa ? » Il avait ce ton sarcastique, presque arrogant, ce ton que Bagheera détestait entendre, celui qui lui donnait envie de fuir, monter dans sa chambre et s’enfermer à double tour. Elle savait pourtant que ce n’était pas possible, que son beau père avait sa clé, que quoi qu’elle fasse, ils étaient tous les deux seuls à la maison et que rien ne pourrait l’empêcher de se servir d’elle. De son corps. Comme un défouloir. Ca avait commencé il y a des mois. Au départ, juste des coups. Jusqu’à ce qu’elle se retrouve à terre, hurlant de douleur, jusqu’à ce que la voiture de sa mère se gare dans l’allée et que son beau père aille l’accueillir tout sourire, comme s’il ne venait pas de frapper sa fille quelques secondes plus tôt. Pendant des mois, il s’était contenté de ça. Et elle aurait aimé qu’il continue. Elle pouvait supporter les bleus et les cicatrices, mais elle n’avait jamais réussi à supporter les viols. Ca avait commencé un soir d’hiver alors que sa mère était parti en Europe pour le travail. Il était entré dans sa chambre, en pleine nuit et lui avait arraché ses vêtements, une main sur sa bouche pour l’empêcher de crier. Elle se souviendra toujours de ce jour. Plus que tous les autres. Cette douleur qui la traversait, les cris qu’elle devait ravaler, l’incompréhension, l’envie de le repousser sans y arriver. Il l’avait laissé inerte dans son lit après quelques minutes et avait recommencé chaque fois qu’il le pouvait. Elle se laissait faire, se taisait puis pleurait pendant des heures, les larmes de douleur, tant physiques que psychologiques coulant sur ses draps. Puis quand elle réussissait à s’endormir, on ne lui laissait que quelques heures de répit avant qu’elle ne se réveille en sursaut, hurlant assise sur son lit. C’est comme ça que ses terreurs nocturnes avaient commencé. Elle ne n’en souvenait pratiquement jamais mais avait conscience que quelque chose clochait, sans savoir exactement ce qu’elle pouvait y faire.
Elle détestait sa famille. Elle détestait ses amis. Ses études. Sa vie toute entière n’était que chaos et souffrance. Elle avait envie de mourir tout en n’essayant jamais de mettre fin à ses jours. Au fond d’elle peut être qu’elle aimait cette douleur. Peut être qu’elle en avait besoin. Après tout, elle avait toujours connu ça. Ca avait commencé avec la mort prématurée de son père. Puis l’arrivée de son beau père, ses maltraitances envers elle et maintenant sa famille qui la prenait pour une folle alors qu’elle avait juste voulu enfin dire la vérité. Elle n’en pouvait plus de cette situation, des regards en coin, de la violence encore plus nette de son beau père depuis qu’elle avait osé révéler leur « secret ». Alors elle était partie, juste partie. Loin, le plus loin possible. Elle errait sans but, ne sachant pas vraiment où elle allait attérir. Et elle était arrivé ici, à Giercliff sans exactement savoir comment mais en sachant au fond d’elle-même qu’il fallait qu’elle y reste, quoi qu’il lui en coûte.
Se faire passer pour folle n’était pas si compliquée que ça en avait l’air. Elle avait choisi de simuler le trouble qu’elle aurait réellement aimé avoir : l’amnésie. Totale. Depuis son arrivée dans l’établissement elle répétait ne plus se souvenir de rien, de son passé le plus proche au plus lointain. Elle espérait qu’en simulant, elle commencerait à oublier réellement toutes ces horreurs qu’elle avait subies. Les médecins essayaient de lui faire retrouver la mémoire pendant qu’elle n’avait qu’une seule idée en tête : la perdre.
Alors que la plupart des patients ne rêvaient que de partir d’ici et retourner à leur vie extérieure, Bagheera ressentait un sorte de bien d’être. Au fond d’elle, elle aimait être enfermé, interné. Elle n’avait pour rien au monde envie de retourner dehors. C’est ici qu’elle se sentait libre, vivante. Parmi tous les malades elle pouvait laisser aller à l’extrême ses émotions. C’est pour cette raison qu’elle développa ce qu’on appelle des « troubles de comportement », elle commença à faire des crises, parfois de colère, parfois de larme alors qu’au contraire il lui arrivait quelquefois de s’enfermait dans un mutisme total quand elle n’avait pas envie de parler. Alors qu’elle était à la base arriver ici en simulant, elle commençait elle-même à devenir folle et à perdre le contrôle de ses émotions. Elle se laissait aller au grès de ses envies, elle criait quand elle avait besoin de crier, elle pleurait quand elle se sentait triste. Personne ne savait vraiment jusqu’où cela pouvait bien aller, mais il lui arriver de devenir réellement violente bien qu’elle ne fut un danger pour personne jusque maintenant. Elle avait besoin de ça pour se sentir exister et atteindre une certaine sérénité. Vivre parmi tous ces malades, pouvoir voir leurs problèmes, leur parler, tout ça l’aider paradoxalement à aller mieux et à vivre, comme si elle savait enfin qu’elle n’était pas seule. Seule dans sa douleur.
Dernière édition par Bagheera Masih le Lun 20 Mai - 18:07, édité 2 fois
Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Dim 19 Mai - 16:43
je répond ici, puisque tu as posté ta fiche. je pense que le trouble est tout à fait plausible pour une personne qui souhaitent se l'inventer, d'être amnésique. Après, tu sembles parler d'accès de colère, seraient-ils simulés ou bien Bagheera développerait-elle un réel trouble ? Faudrait clarifier un peu cela, à mon goût. A savoir également que les terreurs nocturnes sont loin d'être des peurs ou des crises se passant la nuit ! Cela s'apparente plus à du somnambulisme, je ne sais pas si tu t'es renseignée sur wikipédia déjà qui en apprend un peu plus. quoiqu'il en soit, je te souhaite la bienvenue et faustine, marine et moi sommes là pour t'aider.
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PRESENCE : DEUX ANS.
ÂGE : VINGT-ET-UN ANS.
TROUBLE(S) : DÉPRESSION, TENTATIVES DE SUICIDE RÉCURRENTES, AUTOMUTILATION.
Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Dim 19 Mai - 16:50
Il n'y aurait que l'amnésie qu'elle simulerait. Les crises seraient une sorte de conséquence aux drames qu'elle aurait subi auparavant dans sa vie ( j'ai pensé à des viols, des maltraitances de quelqu'un de sa famille ), du coup elle se réfugie dans les larmes et la colère, elle a besoin de ça pour se sentir vivante et ici elle se sent totalement libre de ça puisque tout le monde est malade. Concernant les terreurs nocturnes j'ai été voir sur wikipédia et la définition est celle ci :
Spoiler:
La terreur nocturne commence en début de nuit ou de siestes longues (dans les une à trois heures après l'endormissement) par un cri de panique. L'enfant est souvent assis sur son lit, les yeux écarquillés et fixes, en mydriase. Il a l'air terrifié, hurle, et est insensible aux tentatives de ses parents pour le rassurer : il se débat, lorsqu'on tente de le toucher pour le calmer. La crise dure de une à 20 minutes et s'accompagne de tachycardie, polypnée, agitation, sudation, cris, rougeur du visage ou parfois pâleur.
Donc pour moi c'est quand même bien une crise se passant la nuit ... Sinon je ne comprends pas vraiment et j'ai pensé que ça pouvait être du aussi à son passé et ses craintes, ça aurait été l'élément déclencheur. Donc en gros il n'y aurait que l'amnésie qu'elle simulerait.
Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Dim 19 Mai - 18:14
Bagheera Masih a écrit:
Il n'y aurait que l'amnésie qu'elle simulerait. Les crises seraient une sorte de conséquence aux drames qu'elle aurait subi auparavant dans sa vie ( j'ai pensé à des viols, des maltraitances de quelqu'un de sa famille ), du coup elle se réfugie dans les larmes et la colère, elle a besoin de ça pour se sentir vivante et ici elle se sent totalement libre de ça puisque tout le monde est malade. Concernant les terreurs nocturnes j'ai été voir sur wikipédia et la définition est celle ci :
Spoiler:
La terreur nocturne commence en début de nuit ou de siestes longues (dans les une à trois heures après l'endormissement) par un cri de panique. L'enfant est souvent assis sur son lit, les yeux écarquillés et fixes, en mydriase. Il a l'air terrifié, hurle, et est insensible aux tentatives de ses parents pour le rassurer : il se débat, lorsqu'on tente de le toucher pour le calmer. La crise dure de une à 20 minutes et s'accompagne de tachycardie, polypnée, agitation, sudation, cris, rougeur du visage ou parfois pâleur.
Donc pour moi c'est quand même bien une crise se passant la nuit ... Sinon je ne comprends pas vraiment et j'ai pensé que ça pouvait être du aussi à son passé et ses craintes, ça aurait été l'élément déclencheur. Donc en gros il n'y aurait que l'amnésie qu'elle simulerait.
alors effectivement, mea culpa, tu as raison. du coup, ça va très bien.
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Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Lun 20 Mai - 10:59
Désolé du DP mais je me demandai si j'allais garder Phoebe Tonkin ou non, parce que ici la plupart ont des mannequins ou en tous cas des avatars qui sortent vraiment de l'ordinaire alors j'me dis que ça peut être bien d'être à cette mode là aussi. Alors je me demandai si par rapport au caractère de mon personnage tout ça vous auriez des idées ? ( en plus j'ai rajouté une grosse partie annecdotes avant d'écrire l'histoire ! <3 )
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Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Lun 20 Mai - 11:01
(je passe un peu vite du coup je n'ai pas le temps de lire, je ferais ça après. ) alors, tu sais, ici, l'important c'est d'être bien avec le visage de son personnage, qu'il sorte de l'ordinaire ou non, qu'il soit mannequin, acteur, chanteur ou autre. je pense que si tu te sens bien avec phoebe, tu devrais la garder, car après tout on ne juge pas un personnage sur l'avatar ou quoi. mais si tu veux vraiment qu'on t'aide à trouver quelqu'un d'autre, et bien, on t'aidera sans soucis.
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Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Lun 20 Mai - 11:06
Je vais voir si je la garde ou non alors, mais si des idées vous passe par la tête vous pouvez quand même m'en donner, au cas où, parce que si j'ai un coup de cœur qui correspondrait bien à mon personnage je pourrais changer sans soucis comme ça.
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PRESENCE : Des années. Surement plus de dix ans.
ÂGE : 40 ans
RÔLE : Il est à la tête de cet endroit depuis quelques temps
Sujet: Re: Angels lie to keep control▲ herra' Lun 20 Mai - 21:20
alors alors.. que dire, cette Bagheera (ce prénom ), je l'aime beaucoup. son histoire, le fait qu'elle aime le fait d'être internée pour ne plus avoir à subir les horreurs de son beau père, l'amnésie pour oublier. ce sont de très bonnes idées et j'ai vraiment beaucoup aimé te lire. je te valide donc avec grand plaisir!