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 ANNEXE › l'histoire de giercliff.

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Epha Pyrhönen
BIENVENUE A GIERCLIFF

PRESENCE : DEUX ANS.
ÂGE : VINGT-ET-UN ANS.
TROUBLE(S) : DÉPRESSION, TENTATIVES DE SUICIDE RÉCURRENTES, AUTOMUTILATION.

HORS JEU

PSEUDO : KIDD.
CREDITS : KIDD, SOFT PARADE.
MESSAGES : 633
Epha Pyrhönen

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MessageSujet: ANNEXE › l'histoire de giercliff.   ANNEXE › l'histoire de giercliff. EmptyJeu 25 Avr - 12:26


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L'HISTOIRE DE GIERCLIFF.

JUILLET 1849
Il se murmure qu'à l'origine de la naissance de Giercliff en tant qu'hôpital psychiatrique, il y eut un noble. Un noble dont le nom s'est perdu au fil des années, car les personnes vivant près de lui, en dessous de lui auraient préféré l'oublier, espérant ainsi chasser le souvenir de son visage, de ses actes. Un noble qui, dans la lignée de la Comtesse Sanglante, aurait perpétré les pires atrocités dans son château, le château de Giercliff. Dans les sous-terrains, dans les catacombes, il y aurait attaché à des chaînes de métal des jeunes filles, des jeunes garçons, adolescents, venus là car trop naïfs, venus là car ayant cru à cette possibilité de visiter les bibliothèques si réputées du noble. L'on raconte que beaucoup de sang a coulé dans cet endroit caché du monde, tellement que la pierre constituant les murs, et la poussière couchée sur le sol en ont gardé la couleur : l'écarlate. Lorsque le noble fut découvert, les cadavres d'une vingtaines de jeunes gens gisaient alors sur le sol, nus, mutilés, méconnaissable. Le propriétaire des lieux fut arrêté, condamné à mort, exécuté, bien qu'aucune sentence ne puisse être à la hauteur de l'horreur de son geste. Le château, quant à lui, fut confier à l’État pour ensuite être réaménagé en hôpital psychiatrique, là où se cacherait les « cancers de la société, qui métastasent dans chacune des veines rougies de la ville ». Ainsi naquît l'asile de Giercliff.

OCTOBRE 1886
Les choses bougent à Giercliff. Durant les trente-sept premières années de vie de l'hôpital psychiatrique, tout s'est pourtant passé normalement – si l'on peut considérer la vie avec des criminels, des fous, des personnes qui n'ont rien à faire là, et le tout mélangé qui plus est, normal – mais là, des patients se sont plains. Des patients ont passé leur nuit à pleurer, car il sentait une présence planée au-dessus de leur lire, et des yeux rivés sur eux. Des yeux perçants, des yeux bleus clairs, qui vous traversent et vous enserre le cœur jusqu'à vous rendre malade. Ils sont cinq à s'être plains de cette drôle de sensation. Des regards en coin sont lancés à travers les employés de l'institut médical. Et le directeur soupire. Il paraît que c'est l'effet que Leonard Cowett fait la plupart du temps.

JANVIER 1887
Parlons-en, de Leonard Cowett. Trois mois. C'est le temps qui se sera écoulé entre son arrivée à Giercliff et son évasion. Trois mois. Trois mois où les autres patients se sont enveloppés, recroquevillés dans une peur chronique de voir de nouveau ses pulsions ressortir des tréfonds de son âme, sombre, corrompue, pourrie. Ils avaient peur qu'une fois de plus, il reparte dans ses délires meurtriers, ceux qui l'ont déjà poussé à massacrer sa propre famille à coups de hache et de marteau. Mais Leonard Cowett s'est enfui. Soit disant en passant à travers les catacombes de l'ancien château qu'est l'asile. À travers ces lieux qui ont bercés l'un des pires bains de sang de l'histoire du continent. Il est parti, et les complaintes des autres patients se sont petit à petit arrêtés, tandis qu'un vent d'espoir souffle sur ceux qui sont condamnés à passer leurs vies ici : il y aurait donc un moyen de partir.

MAI 1887
Leonard Cowett est retrouvé mort dans les sous-terrains de l'hôpital. Chute mortelle lorsqu'il a essayé de les rejoindre : il ne connaissait pas le chemin. La presse envahie en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire la cour de l'hôpital, alors que le directeur ne prononcera qu'une phrase sur cette affaire : « Leonard Cowett est mort. N'en parlons plus. »

JUIN 1949
L'asile psychiatrique Giercliff est sur le point de fêter ses cent premières années d'existence lorsqu'il attire de nouveau la presse pour une toute autre raison. La Seconde Guerre Mondiale est terminée depuis quatre ans, les criminels nazis sont en fuite, poursuivis par les polices du monde, le FBI, et tout autre organisation des forces de l'ordre sur la planète. Ils savent qu'ils risquent la peine de mort s'ils se font arrêter. Alors, ils fuient. Et si la presse s'intéresse de nouveau à Giercliff – alors qu'aucun grand événement n'était survenu depuis Leonard Cowett – c'est à cause d'une rumeur. Une simple rumeur, qui devient l'étincelle pour embraser un champ de substances inflammables. La rumeur court. Très vite. Et elle raconte à qui veut l'entendre que l'hôpital psychiatrique abriterait l'un des criminels nazis recherchés pour avoir participé à l'élaboration de la stratégie du génocide des juifs, homosexuels, tziganes, handicapés dans les camps de concentration et d'extermination. De nouveau, le directeur refuse de répondre, comme son prédécesseur. Même après l'arrestation du concierge de l'époque, et son exécution. Pas un mot. Silence.

2013
Giercliff a apprit à taire ses secrets, à ne laisser sortir aucune rumeur, ni aucun problème. Et pourtant, l'asile pullule de ces « saloperies à écraser », comme dirait la plupart des employés. Des employés qui ne respectent même pas, pour certains, les règles élémentaires. Des patients qui les poussent à bout. Et inversement. Mais à la différence des précédents scandales qui ont pu secouer l'hôpital : ceux là sont gardés secrets. Et ils le resteront.
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