né quelque part dans le Nevada (USA), un quatre mai (vingt-cinq ans)
SEXE :
masculin.
ORIGINE DE LA DEMANDE D'ADMISSION :
❒ patient lui-même ❒ famille, entourage ❒ service ou institution sociale ✔ police ou pompiers ❒ SOS médecin ou SAMU ❒ médecin de famille ❒ généraliste de garde ❒ psychiatre, psychologue privé
ANTÉCÉDENTS D'HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE :
❒ oui ✔ non
ACCOMPAGNEMENT :
❒ patient venu seul ❒ famille ou ami ❒ personnel d'un service social ❒ personnel de secteur ❒ ambulance, VSL ❒ pompiers ❒ SAMU ✔ police ✔ autre : décision de justice.
homicides involontaires avec circonstances aggravantes.
DEGRÉ DE DANGEROSITÉ :
dantesque.
SAUL PRITCHETT
par docteur wilson
Entre 2008 et 2009, une affaire sordide ébranla le Nevada et les médias de tout le pays. Quatre femmes aux profils étrangement similaires se donnèrent la mort. Les proches décrivirent tous sans exception un changement singulier de comportement chez les victimes : addiction à la drogue, agressivité, repli sur soi puis isolement total sans donner la moindre nouvelle ou explication. Des suicides a priori isolés mais desquels apparut vite un même point commun : Saul Pritchett. L’enquête révéla que les quatre victimes avaient fréquentées le jeune homme qui vivait seul dans un gigantesque manoir hérité à la mort de ses parents. La police y a retrouvé alcool, produits stupéfiants et quelques affaires appartenant aux victimes. Le rapport des légistes confirma la thèse du suicide et innocenta le suspect mais l’enquête révéla petit à petit la responsabilité de S. Pritchett dans la pathologie qui poussa les victimes au suicide. Durant sa mise en examen, le suspect a confirmé avoir entrepris une relation amoureuse avec chacune des victimes mais nia les avoir tué. « Je les ai peut-être aidées » dira-t-il, absent. De manière tout à fait détaché, il raconta comment il avait rencontré et entamé une relation avec chacune d’entre elles. Il expliqua qu’il avait eu pour habitude d’emmener chacune d’elles aux soirées mondaines dont il était friand, qu’ils étaient devenus inséparables et même, qu’ils passaient des semaines et des semaines dans le manoir Pritchett sans sortir ni parler à personne, qu’elles ne pouvaient simplement plus se passer de sa présence. Qu’enfin, lassé, il finissait par les rejeter. Toutes. La déclaration était vague mais suffisait à faire naître des vagues de spéculations. « C’est un pervers narcissique. » déclare alors un éminent psychiatre intéressé par l’affaire. « Un véritable prédateur dont le seul désir est d’être obéi et de dominer. Il n’hésite pas à utiliser toute forme de violence verbale et physique, de harcèlement moral ou encore de manipulation mentale pour arriver à ses fins. L’issue de ce rapport maître/esclave peut être parfois tragique, comme c’est le cas dans cette affaire. » Le diagnostic était tiré par les cheveux mais le public fut convaincu, il se déchaîna et demanda la tête de ce monstre au sourire ravageur.
« Brillant et séduisant » sont les mots les plus souvent utilisés par les professeurs et les camarades de classe interrogés durant le procès. Ils décrivent un jeune homme charismatique, cultivé, au talent d’orateur et à l’humour ravageur qui aurait pu faire une grande carrière s'il n'avait pas été impliqué dans cette affaire. Pourtant, subsistent plusieurs zones d’ombre : ses antécédents familiaux restent inconnus et il refuse totalement d’en parler, la rumeur dit que les Pritchett étaient extrêmement riches et qu'ils vivaient en reclus, totalement paranoïaques; de plus, personne ne comprend comment un jeune homme bien élevé, brillant et séduisant auraient pu cacher un tel monstre. A l’issu du procès, il fut reconnu coupable d'homicides involontaires et condamné à la prison à perpétuité mais les débats quant à sa responsabilité mentale devinrent le principal sujet de conversation. Sur conseils, un internement et un traitement en hôpital furent suggérés. Cette même année, un nouveau programme top secret de « reconditionnement psychologique » censé traiter les troubles psychopathiques fut mis à l'essai, et on vit là l'occasion parfaite, le cobaye parfait. Saul Pritchett a donc intégré Giercliff le dix-neuf janvier 2009 sous la tutelle de la justice. Les consignes étaient simples : il serait suivi 24h sur 24 par un officier de police, les mains entravées par sécurité et suivrait l'emploi du temps que les docteurs lui auront concocté.
A ce jour, il a été placé en isolement à trois reprises pour avoir causé de nombreux troubles dans la salle commune, son "passe-temps", tel qu’il l’avoue sans rougir, consiste à engager la conversation avec un autre patient, à le pousser à bout en utilisant précisément les troubles justifiant son séjour à Giercliff et à créer de véritables scènes de chaos. Si Pritchett ne s’est jamais montré violent physiquement, il lui arrive par moment d’adopter un comportement antipathique, méprisant et agressif envers autrui. Saul est imprévisible. Il peut être aimable et converser tranquillement un jour, et vous toiser un sourire carnassier aux lèvres la seconde d'après. Il n'a aucune considération pour le genre humain.
(MAJ du rapport : janvier 2013) Le patient entame désormais sa quatrième année à Giercliff et son traitement ne présente toujours pas de résultats probants. Le gouvernement veut toutefois poursuivre le programme et demande à ce qu’on améliore les conditions de vie du patient pour stimuler sa réceptivité au traitement. Il a donc été décidé que l’officier de police chargé de le surveiller serait remplacé par un employé qualifié de Giercliff. Toutefois, pour des raisons de sécurité, les mains du patient resteraient attachées et ses interactions avec les autres patients limitées. Pritchett ne perd pas ses habitudes : ses repas sont toujours pris dans sa cellule, exception faite des fêtes et des événements particuliers, et le reste du temps, il reste calmement dans la salle commune ; il a droit à une heure de sport, une autre de lecture ainsi qu’à trois cigarettes et un bonbon au caramel par jour. Comme à son habitude, il participe aux activités de groupe sans émettre la moindre réticence et se présente à chaque rendez-vous sans faute. NB : - Toujours aucune visite de proches (famille, amis) depuis le début de son internement. - Aucun incident n’a été déclaré depuis Noël 2011 où Saul Pritchett provoqua une crise de panique générale durant laquelle le patient P. H. se défenestra.
CONSPIRACY
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19 ANS
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JEREMY DUFOUR
Find what you love and let it kill you.
Dernière édition par Saul Pritchett le Lun 20 Mai - 9:15, édité 3 fois
START ► LEVEL 1. Hello darling, sourire, baisemain. Monsieur est gentleman, monsieur ne te demandera pas ton 06, ne te mettra pas la main aux fesses, ne te poussera pas violemment vers les chiottes insalubres du bar ou la ruelle sombre derrière pour te baiser sauvagement dans une brume de pisse encore chaude. Et puis qu'est-ce qu'il croit, t'es pas une fille facile. Tu dis avoir des principes mais son putain de sourire mi-suffisant, mi-innocent t'hypnotise. Au lieu de ça, tu l'invites à te payer un verre. Il a l'air d'avoir les moyens, élégant, soigné jusqu'au bout des ongles. Attentat au sourire bright, pense-bête : faire un procès à Colgate. - Je m'appelle Saul. Ouais, c'est ça, et moi c'est La Flute, enchantée ! ► LEVEL 2. T'en es à ton troisième verre. Valse lancinante. Il a bu plus que toi mais il est aussi frais qu'à son arrivée. T'essaies de croiser son regard, de rire aux mêmes blagues, de paraître intelligente alors que tu glousses comme une gourde. Mais il te fait te sentir bien alors tu ris encore plus fort. Il t'embrasse pour te faire taire. Langoureux vertige. Pas un verre de plus, ma jolie. Il t'emmène dans sa forteresse, le mode prince charmant activé. Pas de sexe ce soir, gentleman on a dit. Tu dors dans des draps de soie importés, il t'accueille le lendemain avec un petit-déjeuner, tu crois rêver. ► LEVEL 3. Quelques semaines plus tard, tu parades à son bras, fière. Il t'emmène où tu veux, te paie ce que tu veux, te baise quand tu veux. Il te présente comme sa "fiancée", te fait rencontrer du beau monde. T'as l'impression de porter la culotte. Mais darling, ouvre les yeux, il te manipule, il claque ses doigts et c'est toi qui accoures, la queue remuante et la langue pendante. Il a parfois ce regard glacial quand tu lui parles, ce sourire carnassier quand il te parle. C'est un prédateur, il pourrait te déchiqueter d'une seule morsure mais il fait durer le plaisir, il veut te voir tomber depuis le summum, te fracasser comme une poupée de porcelaine. Tu le vois s'assombrir, tu fermes les yeux et continues à lui souffler des mots d'amour. ► LEVEL 4. Le bel éphèbe décoche une flèche, te fait son sourire ravageur. Tu veux qu'on s'amuse ? Dis non, fuis, barre-toi tant qu'il est encore temps. Mais t'acceptes, ça mettra un peu de piment. Il sort un petit sachet de poudre blanche, l'agite avec un sourire innocent. Tu savais qu'il se droguait mais tu ne l'as jamais vu faire. Normal chérie, t'aurais chialé et te serais oubliée dessus en le voyant en plein trip cosmique. T'en prends que si tu veux, bien sûr. T'es réticente mais tu tends la main, tu veux lui faire plaisir, lui plaire. Tu lèches son doigt plein de poudre sous son regard malsain. Tu crois ne rien sentir quand l'euphorie t'enserre dans ses bras. Tu te sens toute puissante, maîtresse du monde, et quand la dépression frappe, il t'injecte une seringue d'héro dans le bras pour repartir. Et ça recommence, encore et encore, jusqu'à ce que ton corps ne se mette en veille. Tu te réveilles, out of time, pleurant et tremblant dans ses bras mais heureuse. T'en redemandes encore et il te remercie. Et vous vous pourrissez l'organisme à deux, les nez en sang et les beaux vêtements cachant les bras plein de bleus et de trous de seringue. Mais lui avait l'habitude, son corps de monstre était plus résistant, toi, little bird, tu t'es condamnée à une mort lente et douloureuse. Et ça lui faisait prendre son pied. ► BOSS LEVEL. Projection astrale, putain t'es conne, tu t'es faite avoir comme une bleue. Tu n'es qu'un objet, tu n'as toujours été qu'un objet entre ses doigts. Dance, dance, my little puppet. Et tu crèveras comme les autres. Il te rongera jusque la moelle, te gobera toute entière, tu crieras que tu l'aimes et il te dira qu'il aime quand tu la fermes. Alors, tu la boucleras. Soumise, docile, syndrome de Stockholm. Vide. Parce que ce qu'il aime lui, c'est pas de faire couler le liquide putride qui coule dans tes veines mais plutôt de voir la fleur de ta vie perdre son éclat, se faner et se décomposer en un immonde tas d'humus. Une coquille vide tentant vainement de se raccrocher à lui, le néant personnifié, voilà ce que t'es. Il est malade, regarde, dénué de sentiments, amoral. Il essaie de se sentir vivant par tous les moyens mais ce qui est tragique, c'est qu'il n'y arrive pas. Tu chialeras pour qu'il te fournisse ta dose de drogues et il te laissera te noyer dans ton propre mélange de vomi et de larmes. Tu essaieras de t'enfuir, ou peut-être qu'avec un peu de chance, tu choisiras de t'éclater le crâne contre l'asphalte frigide cent mètres plus bas, ballet de dents éclatées, dernière chaleur. ■ GAME OVER. Et il te pleurera, comme un sale gosse qui a perdu son jouet préféré. Parce qu'il sera seul, seul face aux ténèbres qui l'entourent, à l'obscurité qui s'est emparé de son semblant d'âme, seul face au monstre sadique et abominable qui grandit en lui et à qui il ne peut donner liberté sans enfreindre les bonnes lois qui l'inhibent. Et d'une certaine manière, c'est toi qu'aura gagné. TRY AGAIN ?
Cela aurait pu continuer encore et encore si seulement la police n'avait pas mis fin à son petit jeu macabre. Les troubles-fêtes sont arrivés, ont enrayé la machine. Voilà le loup en cage.
~
SÉANCE #1582 - Travail des émotions.
Saul arriva à la séance avec dix minutes en avance, l'officier Gene Morris sur ses talons. Ce dernier s'installa sur l'une des trois chaises près de la porte du cabinet et sortit le livre de mots croisés tout éraflé qu'il gardait constamment sur lui dans la poche intérieur de son uniforme. Gene était devenu un vieil ami, si l'on pouvait appeler "ami" quelqu'un qui a passé près de quatre ans à le suivre partout où qu'il aille - jardin, bibliothèque, cantine, toilettes, douche -, quelqu'un qui lui aurait même torché le cul si on le lui avait demandé, quelqu'un qui attend chaque soir le couvre-feu pour aller retrouver sa vie insipide auprès d'une femme mal baisée et de deux gosses tout aussi stupides. Mais Gene était la plupart du temps muet et discret, presque invisible et Saul n'avait pas vraiment envie de lui arracher la tête. Le doc était en rendez-vous avec un autre patient mais comme ils allaient passer les trois heures suivantes à se côtoyer et à discuter, Saul s'affala sur l'une des chaises restantes. Il sortit un bonbon au caramel de la poche arrière de son pantalon, jonglant avec ces mains entravées par des menottes de manière habile. Il laissa rouler le bonbon sur sa langue, aussi simplement que cela. Les bonbons au caramel étaient son péché mignon. La porte s'ouvrit enfin, une adolescente en robe de chambre sortit le pas traînant et l'oeil vide. Le doc dans sa blouse blanche apparut à son tour et d'un hochement de tête salua les deux hommes dans le couloir. Saul entra dans la pièce circulaire et s'installa comme à son habitude dans le fauteuil face au grand écran sur le mur et le doc referma la porte derrière lui. Gene, lui, attendait dehors. Le doc prit son dossier et feuilleta frénétiquement les pages qui le composaient puis comme s'il avait retrouvé ses esprits, il prit une télécommande et fit apparaître une image sur l'écran blanc auxquels ils faisaient tout deux face. La séance pouvait commencer. - Saul, peux-tu me décrire le tableau que tu vois s'il te plaît. - Ah, voilà un grand classique doc. Le Radeau de la Méduse par Géricault. La fameuse frégate appelée Méduse a fait naufrage aux larges des côtes africaines. Les survivants ont du s'agglutiner sur ce pauvre radeau de fortune, endurant faim, soif et folie. Certains ont même succombé au cannibalisme. L'homme réduit à ces plus bas tréfonds. Je crois que le tableau parle de lui-même, doc. Tragédie et désolation. Tout simplement magnifique. Un sourire suffisant se dessina sur les lèvres du jeune homme, il avait l'attitude du bon élève fier d'avoir donné la réponse au professeur. Le doc griffonna quelques notes sur son calepin et jeta un dernier coup d'oeil au tableau. Il s'apprêta à appuyer sur la touche "suivant" de sa télécommande quand Saul l'interrompit. - Vous savez ce qui est plus intéressant encore que le tableau en lui-même ? Durant la préparation de cette oeuvre, la recherche de réalisme du peintre s'est transformée en une véritable obsession pour les cadavres. Géricault passait des heures, des journées et des semaines entières dans la morgue de sa ville à étudier des cadavres encore chauds pour rendre le plus fidèlement possible la rigidité d'un corps mort, la lividité d'une peau, la purulence d'une chair en décomposition. La mort permet la plus belle des sublimations. sublimation, n.f. : processus de transfert d'une pulsion (sexuelle, notamment) vers des objectifs socialement valorisants (tableaux, films, ...) Sa voix était douce et captivante. Il parlait avec éloquence et intérêt comme s'il était habitué à parler d'arts tous les jours. Le doc le dévisageait, un peu intrigué. Saul faisait cela souvent, il pouvait se montrer totalement désintéressé et peu réceptif aux tests que l'équipe du programme spécial de reconditionnement pouvait effectuer sur lui un jour, et être bavard et excité sur un autre sujet le lendemain. Mais les résultats restaient nuls, aucune amélioration psychologique n'était notable, il s'agissait de simples discussions de comptoir pour lui. Le doc saisit l'occasion pour aborder le sujet qui l'intéressait réellement. - Est-ce cela que vous recherchiez en torturant ces pauvres jeunes femmes, en les poussant au suicide ? Une ... sublimation ? - Rien que des putes. Un petit rire méprisant s'échappa des lèvres pulpeuses du patient. Il était d'une terrifiante beauté. Ces yeux brillaient d'une lueur malicieuse, perverse. Pareils à celui d'un reptile sur le point de planter ses deux crocs suintant de venin. Son ton était froid, distant, méprisant. Aucune d'entre elles n'était assez parfaite. A chaque fois, ce fut un échec. Mais à quoi est-ce que je m'attendais ? La sublimation, c'est pour les artistes, et je ne suis point artiste. Non, je suis un Dieu. Celui que vous voulez. Le Dieu du néant, du vide, du rien, de l'absence. DU ZERO. Ça répond à votre question doc ?
Dernière édition par Saul Pritchett le Mar 21 Mai - 18:25, édité 4 fois
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TROUBLE(S) : DÉPRESSION, TENTATIVES DE SUICIDE RÉCURRENTES, AUTOMUTILATION.
gniou. j'ai changé ta réservation. par contre chou, l'image de base n'était pas à changer, comme préciser sur celle-ci en bas à droite, faudra donc la remettre. puis, tu sais déjà tout.
je la modifie de suite j'avais même pas vu la mise en garde je suis tellement folle à l'idée de jouer mon niels/saul sur ce forum de fifou par contre, je veux mon reno
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je m'apprêtais déjà à dire que j'adorais l'idée et que je saluais le choix d'avatar - et j'adore ta façon d'écrire, vraiment, mais je l'avais déjà remarqué sur endless, ça - mais alors si c'est niels en plus, faustine est obligée de reprendre reno comme ça
merci beaucoup à vous trois, je suis vraiment flattée que ce début de fiche vous plaise mais maintenant j'ai la pression en tout cas, j'espère que vous allez aimer mon petit salaud de saul qui risque de faire des siennes à giercliff
juliette, c'est bien niels 2.0 et qui dit niels dit automatiquement reno tu étais sur endless aussi ?
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TROUBLE(S) : DYSMORPHOPHOBIE, TROUBLES D'ANXIETE GENERALISEE ET DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
oui oui oui, j'étais zero, que je vais sans doute reprendre plus tard en dc - d'ailleurs niels avait dit des choses pas jolies sur elle, il voulait que reno l'étrangle, je me souviens
ah mais oui la belle zéro avec ashley smith ! en même temps, la vilaine se tapait reno, et comme reno c'est genre... l'âme soeur de niels baaah... oui fallait qu'il l'étrangle sinon il l'aurait fait lui-même
avec le potentiel qu'il a, il arrivera bien à faire parler esfir non ? (je craque totalement pour teresa )
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ouais bah justement non, il se la tapait pas, puisque dans un rêve on lui avait dit qu'il se passerait un truc trop grave s'il le faisait, mais elle le chauffer à mort, alors pour la calmer niels avait dit de l'étrangler.
oui mais zero voulait se taper à peu près n'importe qui aussi et puis il avait pas l'air mécontent reno, mine de rien sans aucun doute la manière la plus efficace de se débarrasser d'elle
oui bon, c'est vrai. niels se la s'rait surement tapée aussi s'il avait été à sa place puis en même temps, niels était un psychopathe, il aurait voulu l'étrangler même si elle mangeait du paté avec reno
pfiou, ça c'est de la fiche. ce Saul, je ne m'en remets pas. enfin, c'est un personnage vraiment intéressant et ta manière d'écrire, j'aime beaucoup. tu es donc validé, bienvenue officiellement par ici