❒ patient lui-même ❒ famille, entourage ✔ service ou institution sociale ❒ police ou pompiers ❒ SOS médecin ou SAMU ❒ médecin de famille ❒ généraliste de garde ❒ psychiatre, psychologue privé
ANTÉCÉDENTS D'HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE :
❒ oui ✔ non
ACCOMPAGNEMENT :
✔ patient venu seul ❒ famille ou ami ❒ personnel d'un service social ❒ personnel de secteur ❒ ambulance, VSL ❒ pompiers ❒ SAMU ❒ police ❒ autre (précisez)
DATE DE L’ARRIVÉE :
6 mai un jour dans une année quelconque.
HEURE DE L’ARRIVÉE :
un jour, le matin...
TROUBLE(S) IDENTIFIÉ(S) :
schizophrénie & tentative multiple de suicide & Paranoïaque .
DÉLIT(S) :
consommation de stupéfiant à l'intérieur de l'enceinte de Giercliff.
DEGRÉ DE DANGEROSITÉ :
Faible
Hestia Baranovski
par docteur wilson
Hestia Baranovski est arrivée le 6 mai 2011, escortée par la police Ukrainienne. Le sujet ne semblait pas avoir de trouble psychologique visible sauf un état d’anxiété assez avancé, qu’on attribua à sa transférassions au centre de Giercliff. Rapidement, des symptômes d’une paranoïa sévère firent leur apparition. Mademoiselle Baranovski est propice à de nombreuses crises de panique, et ce, plusieurs fois par jour. Plusieurs psychiatres lui firent des tests de personnalités afin de confirmer l’hypothèse de sa paranoïa et ils furent tous positif. Nous avons donc pris la décision de la mettre avec les autres patients, ne représentant pas un danger pour elle-même ou pour les autres. La patiente est arrivée dans un contexte particulier. Escorté par la police Ukrainienne, nous n’avons pas pu obtenir d’information sur les raisons à son transfert à Giercliff. Nous avons pris contact avec son ancien passionna qui n’a rien voulu nous dire, seulement qu’elle ne correspondait plus au profil de l’Institut et que la seule place pour elle était d’être internée. Paradoxale, mademoiselle Baranovski ne semblait n’avoir aucun problème psychologique outre sa paranoïa qui n’est pas une raison majeur pour la garder dans notre enceinte. Elle fut tout de même suivit de près afin de tenter de diagnostiquer de potentielle trouble psychologique. Malgré cela, certain aspect particulier n’ont pas échappé à nos psychiatres. Comme le fait que la jeune fille ne semble jamais mettre de soulier, affirmant que c’est un moyen pour elle de rester réveillé. La patiente ne jamais dormir. Souffrant de terreur nocturne qu’elle décrit comme : « Des boucheries sanglant que même le pire des psychopathe n’arriverait à reproduire avec exactitude.» Des traces d’anciennes piqures nous amènerait à conclure que la patiente à un passer de junkie et qu’elle pourrait représenter un risque de rechute, nous avons dû l’envoyer voire un spécialiste afin de nous assurer que la patiente reste en santé et qu’elle ne souffre pas d’un manque.
Malgré cela, nous n’avions aucune raison sérieuse de la grader dans notre enceinte, nous avions pas la décision de la transférer dans un centre voisin quelque temps et qu’elle puisse retourner à son ancien passionna après quelque thérapies. Deux jours avant son transfert, la patiente fit une crise d’angoisse la plus sévère depuis son arrivé. Cachée sous son lit, mademoiselle Baranovski hurlait, dérangeant ainsi tous les autres occupants de l’étage. Elle refusait de coopérer s’éloignant et criant plus fort à chaque fois qu’une infirmière s’approchait d’elle. Une fois réussit à la dégager de sous du lit, nous remarquâmes des trace de mutilations sur tous ses avant-bras et ses cuisses. Sans s’en rendre compte, elle s’était blessée durant sa crise et nous avons dû la mettre en isolement, une fois là-bas, la patiente se mit à paniquer de façons exponentielles. Une fois seule, elle se blessait, hurlait et faisait des crises de paniques multiples. Nous avons dû lui attacher les mains afin qu’elle ne cesse de se blesser, mais ses crises de paniques ne cessait de s’aggraver et la seule solution trouvé fut de laisser une infirmière à ses côtés. Après deux semaines attachées à un lit en isolement, la patiente fut autorisée à revenir avec les autres patients. Mademoiselle Baranovski fut interrogé à de nombreuses reprises afin d’éclaircir les raisons de cette crise et la raison qu’elle nous donna : « C’est l’ombre… c’est lui… il est là... il est revenu. » Une nouvelle pathologie fut inscrite à son dossier, schizophrène. Il était alors hors de question de la renvoyer à son ancien internat. Cela fait maintenant deux ans que mademoiselle Baranovski est internée au centre Giercliff et malgré tous nos efforts, nous n’avons aperçus aucun amélioration, au contraire, son état semble tranquillement s’empirer. La patiente a été remis à trois autres reprises en isolement, et qui je crois, est la raison de la régression de son état. Une fois seule, la jeune fille semble perdre le contrôle d’elle-même et cela en devient dangereux pour sa vie. Elle a été mise en isolement pour consommation de substance illicite dans l’enceinte du centre Giercliff, pour tentative de suicide et pour coup et blessure sur un membre du personnelle. Malgré ses tendances paranoïque, lorsque mademoiselle Baranoski est rentrée au centre, rien ne laissait présagé un passé schizophrénique. Au contraire, elle semblait tout à fait normal. Aujourd’hui, deux ans plus tard après son internat, elle semble avoir des difficultés à séparer la réalité de son imaginaire et ses hallucinations semblent de plus en plus présentes. L’ombre comme elle l’appelle, était rarement présent lorsqu’il y avait la présence de d’autre personne. Maintenant, la patiente fait des crises de paniques n’importe quand, elle ne dort toujours pas. Nous avons estimé son cycle de sommeille à deux à trois heures par nuit et le reste du temps, elle s’enfuit de sa cellule afin de vagabonder dans l’institue comme bon lui semble. La patiente se prive de sommeille afin d’échapper à ses terreurs nocturnes et depuis elle s’est accommodé et s’est développer plusieurs solution afin de rester réveillé. Nous avons aussi remarqué que la jeune fille a recommencé à consommer de la drogue et nous avons avertis les autorités de l’institut mais aucun avancement ne semble avoir été fait de ce côté. Malgré ses deux ans parmi nous, nous n’avons toujours aucune idée de la raison qui a poussé son ancien passionna à nous envoyer Mademoiselle Hestia Baranoski. Nous avons posé comme hypothèse qu’elle a probablement effrayer ses instituteurs avec ses comportements parfois marginaux. (fixer le vide, marcher toujours pied nu, ne jamais dormir, ses nombreuses crises de panique, sa surconsommation de stupéfiant, sa paranoïa sévère et j’en passe.)
PSEUDO : Mysti-lee
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ÂGE : 18 ans
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AVATAR: Charlotte Free
insérez une citation.
Dernière édition par Hestia Baranovski le Dim 19 Mai - 18:55, édité 3 fois
j'allais également commenter le prénom mais juliette m'a devancée. en soit, bienvenue parmi nous, et en cas de questions/soucis/autre, n'hésite pas à demander, car marine, alexia et moi sommes là pour ça.
Invité
I-D CARD
Sujet: Re: CRÈVE. Dim 19 Mai - 0:22
Oh super merci vous deux ! Pour le moment je n'ai pas de question, mais s'y j'en ai, je s'aurais où demander
oh, charlotte, elle va me rappeler ma jolie chasseuse d'étoiles, mais ton personnage sera bien moins féerique. quoiqu'il en soit, j'ai hâte de découvrir le personange qui promet déjà avec un si joli prénom.