RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle.

I-D CARD

LENSHERR, RÜCCA

LIEU ET DATE DE NAISSANCE (ÂGE) :

treize octobre mille neuf cent quatre-vingt dix-huit en allemagne (quinze ans).

SEXE :

féminin.

ORIGINE DE LA DEMANDE D'ADMISSION :

❒ patient lui-même ❒ famille, entourage ❒ service ou institution sociale ✔ police ou pompiers ❒ SOS médecin ou SAMU ❒ médecin de famille ❒ généraliste de garde ❒ psychiatre, psychologue privé

ANTÉCÉDENTS D'HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE :

❒ oui ✔ non

ACCOMPAGNEMENT :

❒ patient venu seul ✔ famille ou ami ❒ personnel d'un service social ❒ personnel de secteur ❒ ambulance, VSL ❒ pompiers ❒ SAMU ✔ police ❒ autre (précisez)

DATE DE L’ARRIVÉE :

vingt quatre mai deux milles treize.

HEURE DE L’ARRIVÉE :

deux heure trente huit du matin.

TROUBLE(S) IDENTIFIÉ(S) :

fanatisme obsessionnel.

DÉLIT(S) :

possession d'organe humain, profanation de tombe, dégradation de bien publique, meurtres, outrage à agent.

DEGRÉ DE DANGEROSITÉ :

moyen voir élevé.

RÜCCA LIZBETH LENSHERR

par docteur wilson

25/05/13
Après les premières observations, et bien que toutes les preuves du dossier m'ont été fournies, je ne pourrais être sûr de mon diagnostique. Pourtant en vue des éléments soumis à mon égard, il est certain que Rücca est en proie à un fanatisme obsessionnel envers son frère, et qu'elle est coupable d'avoir tuer six personnes, ainsi que des autres motifs de l’accusation. Elle s’est créée un monde de fantasme où c’est lui qui l’aurait obligée à faire la plus part de ses crimes, ce qui lui permettrait de se déculpabiliser et de pouvoir vivre avec toutes ses atrocités sur la conscience. J’aurais été tenté de diagnostiquer une psychopathie seulement, de nombreux signes de recherche du pardon sont apparus dans l’étude des scènes de crimes. Le corps de Olga Hirsch a été retrouvée les bras croisés sur la poitrine, signe de culpabilité et d’excuse. Bien que beaucoup d’organe aient été prélevé, la victime a été recousue. Comme toutes les autres. Le fait qu’elle ait gardé les organes avec elle ne doit pas être interprété comme une idée de trophée, mais d’un sentiment d’attachement et de rédemption envers ses victimes. Il est à mon avis aberrant de penser qu’elle ait pu sévir aussi longtemps sans que personne ne se soit rendu compte de rien. Preuve d’une intelligence supérieure à la normale. Pourtant toutes les preuves montrent qu’elle a agi seule. Lors de la première entrevue avec elle, elle avait la bouche en sang, et était très agité avant de devenir d’un coup à l’entente du nom de son frère extrêmement calme. Et quand nous avons abordé ce sujet, elle semblait en proie à un dilemme, l’idée de le dénoncer et donc de le ‘’trahir‘’ et l’idée de se taire alors qu’il l’avait ‘’abandonnée‘’. Elle a opté après quelques minutes de silences pour le dénoncer. Elle le jugeait responsable de sa situation. Malgré son jeune âge, elle fait preuve d’une maturité avancée et d’une méthode de réflexion propre. Cependant il serait important de faire attention à ses élans d’impulsivités quand elle se sent pigée. De plus comme son frère, son ancien ‘’maitre’’ comme elle le nomme, a failli, elle va chercher une nouvelle projection pour son fanatisme. Bien que lors des prochaines thérapies nous allons essayer de lui faire comprendre qu’elle est la seule responsables de ses actes et de faire en sorte qu’elle arrive à gérer les assauts de remords pour pouvoir se reconstruire, les thérapies de groupe sont contre-indiquées pour le moment.
PS : ATTENTION MORSURES.

SPF

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DIX SEPT

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DAKOTA FANNING

We stopped checking for monsters under our bed when we realized they were inside us.

I-D CARD

My mind in trouble

Mieux vaut régner en Enfer que servir au Paradis.

Le doute.

Le diable n'a pas de noms, n'a pas de forme. Comment peut-on reconnaitre quelque chose si on ne sait pas à quoi cela ressemble ? Le diable nous porte, nous enveloppe. Tel le roi des aulnes, il nous berce, nous accueillant dans son sein. Il est en nous, silencieux et docile. Attendant l'instant où il pourra nous faire sombrer. Ataraxie prenante. Nous prenons une respiration, nourrissant notre propre perte. Témoin de déchéance, il ne fait rien, s'exaltant de ce qu'on lui donne. N'en demandant jamais plus. Nous nous brûlons les ailes à la bougie, à trop essayer de les cacher du soleil. Le diable n'existe pas. Nous sommes notre propre démons. Alors nous doutons. De notre essence. De notre esprit. Peut-on être sain et porteur du mal ? Mais qu'est-ce qu'être sain ? Et qu'est-ce qu'être malade ? Ses noms attachés a ses états tel des excuses muettes. Ils nous confortent dans notre perdition.

Le doute est notre fin. La folie notre rédemption.

Evil make me do it.

Elle hurlait, se débattait avec force, avec rage. Elle le haïssait. Le diable n’a pas de visage. Elle avait foi en lui. Elle l’avait cru, lui et ses belles paroles. Elle l’avait aimé. Plus que tout au monde. Plus que la vie elle-même. Elle avait toujours fait ce qu’il lui disait de faire. Soumise et tendre, elle l’avait suivi, dans sa peur, son angoisse. Son cauchemar. Elle se souvient du couteau. Elle se souvient du sang. Elle se rappelle même les bocaux, bien trop de bocaux. Tous remplis. Le rouge. L’amas rouge. Et ses mains si pâles qui ne l’étaient plus. Non, le liquide éclatant les avait maculées. Et le noir, le noir qui l’entourait. Constamment. Elle l’appelait. Non elle criait. Il l’avait laissée seule. Elle ne lui en voulait pas. Ce n’était pas de sa faute. C’était elle qui avait fait l’idiote. Il viendrait la chercher. Oui. Il le ferait. Il lui devait. Elle regardait le policier devant elle, sa matraque qui pendait. Son sourire lubrique. Ses mains qui défaisaient sa braguette. Non. Non. Elle ne voulait pas. Il n’avait pas le droit. Seul lui pouvait la toucher. Il la forçait. Cet homme en uniforme. « On peut pas leur faire confiance, Rücca. Ses sales fascistes qui protègent ceux qui détruisent notre pays. » Lui murmurait-il à l’oreille. Son dieu, son amour, son sauveur. Le membre engorgé s’introduit dans sa bouche. Elle étouffait. Suffoquait. Les va-et-vient s’éclataient dans sa gorge. Elle avait mal. Souillée. A jamais. Rücca la pure. Rücca la douce. Rücca l’innocente. Rücca n’était plus. Elle était seule. Il ne viendrait pas. Elle était seule. Il l’avait abandonné. Alors tout s’arrêta. Ses dents s’enfoncèrent dans la chair. Elle se repaissait de ses cris. « Lâche Salope. Lâche ! » Un goût métallique lui prit les lèvres. N’osant pas se l’avouer, elle aimait ça. La matraque toucha sa tête. Violemment. Bien trop violemment. La douleur encore. L’extase aussi. Ou peut-être juste l’ataraxie. Et la simple sibylline noirceur de l'inconscience.

Seule dans le noir.

« Mon maitre est mort. »
« De qui parles-tu Rücca ? »
« Il m’a laissée, il m’a abandonnée. »
« Tu parles de Wilfried ? Ton frère ? »

Elle hocha la tête doucement. Si imperceptiblement que le médecin crut avoir rêvé.

« Il n’est pas mort, Rücca. Il me parle souvent de toi. Il s’inquiète. Il ne comprend pas pourquoi tu as fait tout ça. »

Ses grands yeux trop bleus s’embuèrent, ses sourcilles presque blancs se froncèrent. On la prenait pour ses folles dans les films. Celles qui tombent amoureuse, et qui finissent par tuer tout le monde parque celui qu’elles s’aiment ne veut pas d’elles.

« J’ai juste fait ce qu’il m’a demandée. C’est lui qui le voulait. »
« On en a déjà discuté. Wilfried n’y était pour rien. C’est toi qui as fait du mal à ses pauvres gens. »
« Il me disait qu’il m’aimait, qui ferait tout pour moi si j’étais gentille. »
« Non, Rücca. C’était un fantasme. Tu voulais y croire. Il ne t’a rien demandée. C’est toi qui l’as fait, de ton propre chef. »
« Je ne veux plus vous parler. Vous ne savez rien. »

Elle tourna sa tête vers la fenêtre, posant son menton sur ses coudes. Elle n’était pas folle. Non. Elle ne l’était pas. Elle n’avait fait que ce qu’il voulait. Dans sa chambre trop petite de Giercliff, parfois elle avait peur que les médecins aient raisons. Qu’elle s’était tout inventée. Puis, étrangement ce n’est qu’à ses instants que cela arrivait, mais elle se souvenait de son corps contre le sien, de sa voix dans son oreille, de ses regards. C’était trop pour ne pas être réel. Car même si personne ne la croyait. Elle, elle savait. Son maitre l’avait trahie. Bientôt elle s’en trouverait un autre. Elle le verrait, et saurait que c’est lui. L’unique capitaine de son âme.

« Bien. Je vois que tu ne veux pas coopérer. Ramenez-la à sa chambre. »

Une poigne forte lui pris le bras, la trainant molle, comme une poupée de chiffon. Vide. Non, elle n’était pas folle. Et n’y avait qu’elle qui en était persuadé.

Comme je te l'ai dit, ton pseudo est magnifique, j'ai hâte de voir tout ce qui se cache derrière.
Bienvenue parmi nous et, si jamais, n'hésite pas.

Hoho de l'inceste fraternel RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 3785781230

Profanation de tombe, fanatisme... ça promet RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2340525725

Enfin, bienvenue parmi nous ! Et super choix d'avatar au passage RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 1438964875

j'aime beaucoup l'avatar que tu as mis (enfin avais, celui de sky), et le pseudo est vraiment très joli, et les troubles promettent quelque chose de bien, bienvenue

bienvenue, j'aime beaucoup l'avatar actuel. puis le pseudo est top. bon courage.

le pseudo est beau, l'avatar est beau, les troubles et délits sont BOWCHICAWOWOW, et j'aime la tourne que tu donnes au début de ta présentation. ça promet tout ça bienvenue ici, et bonne chance pour tout le reste

moi je vois le pseudo dans ma tête c'est x-men. mais il est génial, je tiens à le dire. oh et puis, ces troubles magnifiques, le début de ton histoire : gosh, j'adore.

par contre la musique dans ton histoire c'est the xx non ? je crois que c'est ça mais je sais pas, et donc : je cherche comme une âme en peine depuis dix minutes.

c'est likky li, la musique, sam.

L'inceste c'est pas vraiment une maladie RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2340525725

/ZBAM / Pardon, je suis folle, il faut pas m'écouter !

Bienvenue à toi RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 201494017

Epha Pyrhönen a écrit:: c'est likky li, la musique, sam.

noooooooooooooooooooooooooooooon.
je savais bien que je connaissais no. bon bah je pars décéder sur until we bleed alors.

HAN, j'adore les troubles RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 4242545884

Et l'avatar RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2939654614

Welcome here petit oiseau! RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2504067479

Rücca, la même que sur Bryher ? bienvenue

Le pseudo, l'avatar, les troubles
ça donne tellement envie d'en savoir plus, et alors le début de l'histoire, magnifique
Bienvenue

Jill-Saï Zücker a écrit:: Le pseudo, l'avatar, les troubles
ça donne tellement envie d'en savoir plus, et alors le début de l'histoire, magnifique
Bienvenue

rien à ajouter RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 4242545884

bienvenue

RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2407254944

I-D CARD

Comment y'a trop de gens qui on squatter ma fiche. J'AIME ÇA What a Face

Vous êtes tous adorables I love you

→ Ouais c'était likky li une des femmes de ma vie RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 1934870469

→ Arshad, ouais c'est moi RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2213543609

→ HARDY ! MIKKELSEN ! HIGHMORE ! RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 1934870469

comme tous mes prédécesseurs l'ont mentionné, le personnage promet RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 2939654614

!
bienvenue mam'zelle RÜCCA † l'humanité souffre. et je souffre avec elle. 1353502484

La raison pour laquelle elle a gardé les organes de ses victimes je trouve ça presque.. fascinant. En tous cas, pour moi, tout est bon : je te valide avec plaisir.

Je te souhaite la bienvenue un peu en retard, et je souligne à nouveau le magnifique pseudo et vava, en confirmant que ton histoire est top.

I-D CARD