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 les illusions vicieuses.

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Arshad Jahat
BIENVENUE A GIERCLIFF

PRESENCE : un mois.
ÂGE : vingt-trois ans
TROUBLE(S) : pulsions meurtrières, principalement envers les femmes.

HORS JEU

PSEUDO : REWIND.
CREDITS : .Reed
MESSAGES : 105
Arshad Jahat

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IT'S A MAD MAD WORLD
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MessageSujet: les illusions vicieuses.   les illusions vicieuses. EmptyJeu 23 Mai - 17:25

Orane et Arshad

Les souvenirs tournent dans des volutes de fumée. Arshad commence à saisir l'ampleur de sa présence en ces lieux, cette impression d'emprisonnement qui ne verra jamais de fin. L'évidence même qu'il n'ira plus nulle part, où pourrait-il aller, de toute façon ? Il ne subsiste rien de ce qui fût autrefois sa vie. Le Taureau l'a oublié. Il le laisse inexorablement moisir entre les murs déjà trop familier de ces lieux. Il erre entre les démons amateurs et les autres, déjà presque morts. Giercliff est un pont. Un passage entre la terre et l'enfer pour les corps qui ont déjà perdus leurs âmes. Alors, où irait-il ? Il semble qu'il n'ait pas meilleur place que celle-ci, finalement. Entre deux médecins qui le jauge comme un spécimen indéchiffrable, entre deux regards vitreux de patients défoncés aux médicaments, entre deux paroles divines des bonnes soeurs qui perdront elles aussi la tête à force d'écouter les folies des psychotiques, entre deux personnes qui prétendent t'aider, deux autres qui veulent te voir bouffer l'asphalte. « Eh ! » Injure réprimée entre ses lèvres pincées, Arshad sert le poing. Il est prêt, il frappe s'il faut. Il lui arrache la trachée avec ses dents si c'est le seul moyen. L'humeur n'est pas aux illusions du comportement, pas aujourd'hui alors que se ressasse dans son esprit l'abandon désagréable du mentor, par son vide spirituel qui martèle son esprit. « On débarrasse son plateau. » Les doigts crispés se relâchent, tout son corps reprend la forme si molle qui le constitue depuis son arrivée ici. Échine à demi courbée, visage inexpressif, bras ballants. Un mois à traîné les pieds, ne faire que cela et prétendre s'y faire. Prétendre ne pas rêver d'ailleurs, se contenter des mêmes visages à chaque jour qui passe. Et surtout, prétendre aller bien. Aller mieux.

Sourire hypocrite. Regard en biais.
Bruit de couverts. Bruit de plateau.
Un. Deux. Trois. Incognito.
La femme n'a rien vu. Ne veut rien voir.

Avec son air d'enfant bien élevé, il quitte les lieux pour en rejoindre un autre. Cette routine désolante lui donne l'amer impression d'être devenu inutile, de ne plus pouvoir se battre pour atteindre ce but qu'il s'était fixé. Jusqu'à ce qu'il l'a vois. Pour une raison inconnue, il avait le pressentiment qu'elle se trouverait ici. Son sourire, imperceptible rictus sur ses lèvres ternes, ravive le plaisir d'antan. Celui qui le quitte bien trop souvent entre ses murs. Il jauge les alentours, beaucoup de gens. De fous qui se prétendent intellectuel en bougeant des pions sur un échiquier ou en lisant les jolis mots de grands écrivains. Personne capable de nuire à ses plans vicelards qu'il imagine déjà conduits à leur terme. Effusion d'hémoglobine sur le carrelage propre de Giercliff. Arshad ne s'encombre pas de conversations futiles. Il s'assoit à côté de l'oiseau étrange, comme un ami qui y aurait été invité. A son oreille il murmure comme un souffle de vent : « J'ai un cadeau pour toi. » De sa manche, dans une discrétion maîtrisé, le bout d'une lame se dévoile au regard de la poupée des songes qui lui fait face. Il esquisse un sourire qui se prétend amical. Devenu un personnage des rêveries folles d'Orane, il a décidé d'être le démon qui se cache derrière de prétendues bonnes intentions. Qui va la conduire là où elle rêve d'aller : loin de Giercliff. Il sait quel chemin emprunter, user de ses peurs, de ses espoirs. Façonner des histoires qui lui sembleront réel, au point que l'unique issue se dessinera à ses yeux sous ses simples paroles.
Il sera la main tendue.
Celle qui la conduira toujours vers l'avant.
Droit vers le précipice.


Dernière édition par Arshad Jahat le Dim 2 Juin - 15:51, édité 2 fois
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Orane Ahlstörm
BIENVENUE A GIERCLIFF

PRESENCE : peu.
ÂGE : vingt-deux ans.
TROUBLE(S) : délires fantasmagoriques.

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MessageSujet: Re: les illusions vicieuses.   les illusions vicieuses. EmptyJeu 23 Mai - 21:08



Orane est absente, elle n'est plus ici, elle est partie. Hors du temps, hors de ce lieu sinistre qui la dévore, l'avale toute entière dans sa gueule béante. Orane est poursuivie par ce monstre, partout dans les couloirs, ce monstre qui mange les couleurs, la joie, et la volonté des gens, ce monstre qui fait de Giercliff ce qu'il est. Fermer les yeux et ne plus penser. Fermer les yeux et ne plus voir. Ferme les yeux, Orane, et disparais. Enfuis-toi, quitte cette prison qui n'est pas pour toi. Tu n'es pas à ta place, Orane, parmi ces gens. Tu voulais seulement rêver un peu plus que la réalité ne le permet. Pauvre petite Orane, perdue dans le labyrinthe, point de fil pour te permettre de retrouver le chemin jusqu'à la sortie, la folie te rattrape, le dédale te perdra. Instrument du diable, le messager te guette.

Perdue dans l'ailleurs, Orane ne sent pas le vautour se poser à côté d'elle, elle ne le voit pas qui étend ses ailes et son influence. Aveugle de l'évidence, tout pour elle est distorsion de la réalité. Elle entend un murmure qui vient caresser ses oreilles, chuchoter dans son cou, si bref qu'elle croirait presque l'avoir rêvé. Elle ouvre les paupières, esquisse un sourire en voyant qu'il s'agit bien de celui à qui elle pensait. Elle pourrait presque dire je t'attendais, mais Orane ne dit pas ce genre de choses. Mais il y a cet embryon de sourire toujours sur ses lèvres, un sourire qui dit je suis contente de te voir, j'étais si seule sans toi. Un sourire qui dit tu es revenu me chercher, merci de ne pas m'abandonner ici. Un sourire qui pose des questions, qui demande est-ce que tu vas m'emmener loin? loin d'ici, loin du monstre, loin de ses couloirs sans fin qui se referment sur moi quand je passe, loin de ce nuage noir qui m'écrase, loin de ces journées sans sens, éternel recommencement des mêmes évènements.
- Un cadeau ?
Elle bat des cils, son visage s’illumine comme celui d’une enfant. Un cadeau ? Pour elle ? Elle en est toute émerveillée, l'observe avec de grands yeux, à la fois surpris et ravis. Le sourire qui se dessine sur ses traits est déjà plus grand, plus sincère. C'est si gentil de sa part de lui offrir un cadeau. Peut-être qu'il réussira à déjouer l'ennui, le monotone et le gris ? Peut-être même qu'il écartera les ténèbres et le noir qui tente de s'emparer d'elle chaque soir ? Peut-être qu'il la sauvera ? Après tout, Arshad vient pour la sauver, pour l'arracher aux griffes de cet affreux endroit où elle est enterrée. Lui seul saura la ramener là où elle appartient, dans son monde véritable, ailleurs, loin de tout ce simulacre, de cette torture à peine déguisée. Arshad, le seul à qui elle peut faire confiance, puisque c'est le seul qui peut réellement la comprendre, le seul qui peut l'aider : le seul qui fait partie de son monde à elle et qui reste complètement étranger ici. Elle ne risque rien avec lui.

Son regard accroche un éclat étrange dissimulé dans la manche de son comparse comme un éclair. Elle jette un petit regard autour d'eux, pour vérifier qu'aucun disciple du monstre ne s'approche d'eux dans le but de voler le cadeau si précieux qu'Arshad a dérobé pour elle.
- Qu'est-ce que c'est ?
Elle interrompt un instant sa question, plisse le nez pour réfléchir.
- C'est un couteau pour éplucher les mots ? Ceux des pensées colorées qui bourdonnent autour de la tête des gens sans arrêt. Je voudrais les attraper des fois, tu sais, juste pour ne plus les voir, pour qu'elles arrêtent de tourner constamment. Surtout les noires ou les rouges. Je pourrai les écorcher, atténuer leur couleur, couper leurs ailes, et elles retomberont dans l'oubli ? Je ne veux plus les voir.
Et un petit sourire de satisfaction s'inscrit sur le visage d'Orane, persuadée d'avoir deviné juste, incapable de comprendre la folie qui suinte de ses propos. Éternelle hallucinée.

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Arshad Jahat
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MessageSujet: Re: les illusions vicieuses.   les illusions vicieuses. EmptyDim 2 Juin - 15:44

Orane et Arshad

Étrange spécimen que cette Orane. Insignifiant bout de femme que l'illusion ratatine. Qui devient oiseau des songes, enfant d'ailleurs. Si décalée du monde, du réalisme grinçant qu'elle voit comme un univers fou. Elle a bâtit son existence sur des rêves conservés au creux de son esprit imaginatif, jusqu'à ne plus savoir discerner où se trouve le bon et le mauvais. A qui tendre la main et à qui la refuser. Arshad se délecte de son innocence à gerber, de sa manière de lui ouvrir les portes de son monde parce qu'elle l'imagine comme étant de son côté, croire fermement en ses paroles réfléchies qui la conduise vers des limites jusque-là inconnues, dans l'espoir secret d'atteindre son cœur, de démolir son âme, de réduire à néant tout ce qu'il subsiste de vie dans le regard si singulier d'Orane.
La détruire, pour passer le temps.
Alors il murmure à son oreille des promesses fallacieuses qui dépeignent un avenir radieux. Futur meilleur auquel elle aspire, rêveries insensées dans lesquelles elle se noie comme dans de troubles eaux. Sans jamais songer à remonter à la surface, persuadée que la main d'Arshad l'attirera là où se trouve le bon chemin.
Mais ce n'est qu'une impasse.
Ou elle finira coincée, à suffoquer, à se damner.
Condamnée.

Orane, elle est perdue dans ses histoires folles, elle parle d'un couteau qui épluche les mots. Des mots qui semblent la dérouter. Qui tournent, sont colorés. Mais elle est contente, parce que c'est un cadeau de son ''ami''. Arshad sourit. Plus par ironie que parce qu'il est touché. Elle est si enfantine, la douce Orane. Si innocente, si pure. Toute droit descendue d'un nuage d'espoir. Loin, très loin, perchée sur sa branche de bonheur poétique. A chanter des poèmes comme on chanterait l'amour. A rêver du bonheur là ou d'autres rêves de sang. A écouter les sonnets puants d'un monstre au couteau tranchant. Persuadée d'avoir un bel objet entre ses doigts si frêles. Une perle dans le monde crasseux qui semble se refermer autour de son corps de bel oiseau.

Fragile. Fragile. Fragile.

« Ce n'est pas exactement l'utilité de ce couteau-là. » Sa voix est douce, comme une invitation à le croire. Arshad a apprit l'être et le paraître. Ressembler à celui qu'on veut qu'il soit, pour mieux vous atteindre, contrôler vos désirs, vos rêves, vos espoirs. Alors, il lui sourit doucement, comme si l'issue de tout ce qu'il tente de lui expliquer lui serait favorable. Il a passé du temps à être un personnage du monde d'Orane. Il l'a observé, longuement, dans son silence étrange, à écouter ses paroles singulières, ses poésie murmurées comme des secrets qu'elle garde précieusement. Il a apprit à comprendre ses certitudes, persuasion sinistre dans laquelle elle s'englobe. Réalité erronée qui lentement la tue.

« Celui-ci, il sert à autre chose jolie Orane. C'est un arracheur de douleur pour les gens comme toi. Ceux qu'on ne veut pas laisser partir d'ici et qui sont épiés jour et nuit par ses affreux démons, ceux qui nous veulent du mal. » Il n'en explique pas l'utilisation. Tout est question de dosage, lui laisser le temps de saisir au vol des explications qu'il envoi avec la poésie crasseuse de l'imitateur qu'il tente d'être. Il reste sur ses gardes, des fois que ses airs d'homme gentil ne soit effrités par son désir brûlant de la voir s'étouffer dans ses illusions folles.
Petite danseuse insouciante dans le cosmos.
Personne ne semble lui avoir dit, pourtant, que trop prêt des étoiles on se brûle.
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Orane Ahlstörm
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MessageSujet: Re: les illusions vicieuses.   les illusions vicieuses. EmptyVen 7 Juin - 20:59



Son esprit tordu ne peut se retenir de sublimer la réalité, d'y voir quelque chose de plus, quelque chose d'ailleurs, de poétique, de beau, pour ne pas se retrouver face au vide et à l'horreur. Vaincre l'absurde en le remplaçant par des chimères, illusoires et insaisissables, certes, mais tellement plus belles. Le réel n'a aucune valeur pour Orane. Il est devenu factice et inutile pour ne plus avoir à s'en soucier. Peu importe la laideur du monde, elle saura le magnifier avec ses rêves. Peu importe si pour cela, elle doit vivre dans un univers qui n'existe pas, elle l'accepte sans en avoir conscience.

Elle fronce légèrement les sourcils, réfléchit à quoi pourrait bien servir le couteau s'il ne peut éplucher les mots. Quelle pourrait être son utilité ? Ce n'est pas un simple couteau, Orane le sait bien, sinon li ne viendrait pas lui apporter. S'il lui en fait cadeau, c'est qu'il lui permettra de quitter Giercliff, de s'évader enfin loin du monstre qui la retient prisonnière. Orane n'est pas un oiseau, elle n'est plus rouge-gorge, ni hirondelle. Elle ne peut pas étendre ses bras et s'envoler loin, très loin. Le monstre a dévoré ses ailes pour l'empêcher de fuir. Il veut la condamner à une terre souillée par la folie grinçante, par la pourriture ambiante. Toutes les mélodies prêtent une teinte funeste dans le lieu où rien n'a de sens, puisque tout se mélange. Où rien n'est réel, et rien n'est faux. Où tout n'est qu'amalgame confus et embrouillé des deux univers.

Peut-être qu'un autre aurait vu l'avidité enfouie sur ses traits, aurait su déchiffrer le désir grimaçant suintant de tout son être. Peut-être qu'un autre aurait compris quel genre de personne était Arshad, se serait méfié puis éloigné à la première occasion, à la première manifestation d'étrangeté glaçante. Mais Orane ne voit rien. Orane ne veut rien voir. Il est le seul à qui elle peut faire confiance, le seul qui pourrait l'emmener loin d'ici. Alors elle ne se pose pas de questions. Elle choisit de le suivre aveuglément, de le croire quoi qu'il arrive.

Elle écoute ses explications avec une attention d'écolière curieuse et désireuse de bien faire. Cet instrument est sa porte de sortie. Elle échappera à l'emprise du monstre. Il aura beau essayer de la rattraper, elle sera hors de sa portée. Le monstre se nourrit de peurs, de souffrances et de perversions. Orane est l'innocence candide et armée de l'arracheur de douleur, elle ne craindra plus rien. L'absence d'angoisse sera comme une bulle increvable, un mur invisible entre elle et eux, entre elle et lui. Elle n'aura plus à craindre ni les autres patients, ceux qui la regardent parfois avec cette étrange lueur dans le regard, celle qui lui hurle de fuir, ni la créature rampant à travers les boyaux de Giercliff.
- Un arracheur de douleur ? elle murmure, Cela semble presque joli. Comme s'il pouvait égratigner le cœur pour supprimer tout ce qui ne va pas et le jeter loin de nous. Cela paraît si doux, de pouvoir s'en débarrasser aussi facilement.
Un sourire rêveur se dessine sur ses lèvres, les yeux rivés sur le couteau.
- Il vient de chez nous, n'est-ce pas ? Tu l'as ramené pour moi ? Tu es allé le chercher pour moi, pour me ramener ? Il est beau, regarde comme il brille. Où l'as-tu trouvé ? Est-ce qu'il était caché au fond d'une huître, dans la rivière ? Ou bien enfoui dans un nid d'oiseau multicolore, comme un trésor gardé précieusement ?
Elle continue de le regarder, presque émerveillée, avant de relever les yeux sur le visage d'Arshad.

Puis une question, toute simple, une question qui peut tout changer.
Orane tombe dans le piège sans s'en apercevoir.
- Comment est-ce que je m'en sers ?



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