Docteur Lacken, à votre écoute.

**PRESENCE** : 20/05/2013 - membre du personnel

LACKEN, BREWEN

LIEU ET DATE DE NAISSANCE (ÂGE) :

SEATTLE, LE 05 JANVIER 1985 (28 ANS)

ORIGINE(S) :

Américaines.

SEXE :

Masculin.

STATUT MATRIMONIAL :

Célibataire.

POSTE :

Psychiatre.

CARACTÈRE :

Travailleur acharné, droit, charismatique, drôle, bon vivant.

PARTICULARITÉS, SIGNES DISTINCTIFS :

Un costume toujours impecable au regard de sa morale et son aspect psychologique sens faille.

GIERCLIFF

par le docteur Bréwen Lacken

Giercliff est un lieu spécial... Une ambiance bien particulière. Sa réputation est telle que tous les psychologues et psychiatres suffisamment sain d'esprit veulent l'éviter. Ce n'est pas mon cas, je trouve l'endroit fascinant et j'ai toujours penser qu'une personne n'avait jamais perdue toute son humanité. Plus qu'un choix, une vocation: venir ici était une évidence. Il y a tant à faire, tant à guérir. Je me sens comme chargée d'une mission des plus délicates mais des plus passionnantes et des plus louables: redonner vie à ces malades.

AUDI

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18 ans

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DANIEL GILLIES

"Traitez les gens comme s'ils étaient ce qu'ils doivent être et vous les aiderez à devenir ce qu'ils sont capables d'être." Goethe.

**PRESENCE** : 20/05/2013 - membre du personnel

All mad here

Très cher père,

La lettre que tu tiens entre tes mains provient de Giercliff. J’imagine que tu es gourmand de détails toi qui m’a longtemps parlé de cet endroit. Ton histoire préférer comme tu me racontais à mon chevet. Je viens poursuivre l’histoire et ton travail. Après ces longues études pour suivre ton chemin me voilà à entreprendre un travail impossible. Pourtant j’y crois. Je suis déterminé à réussir à faire sortir ces malades d’ici. Je suis infiniment persuadé que l’on peut les aidés. Je sais ce qu’on dit de ces lieux, c’est là où les âmes déchues terminent leur existence et leur confinement est tel qu’aucune ne s’en échappe jamais. Pourtant, la première fois que je suis entré, j’ai été transpercé par ce sentiment d’être à ma place. A présent c’est une certitude : je dois rester ici, exercer mon métier, notre métier ici. Tu n’imagines pas comme ce centre a besoin de sang neuf, de vivacité. Dans les couloirs ce n’est pas l’odeur d’un hôpital qui règne mais celui de la mort. Il faut faire vivre ces malades.

Ma visite débute à mon bureau : la pièce n’est pas très grande mais suffisante. J’ai là un bureau en bois, j'ai l'impression que c'est du chêne. Je ne l’aime pas. On dirait un bureau d’écolier, là ou l’on force un enfant à faire ses devoirs. Je voudrais le changer. Prendre un beau meuble du 18ème... Tu connais mon amour pour le mobilier français. Au fond de la pièce se trouve une grande armoire, elle est suffisamment grande pour y loger tous les dossiers mais dénuer de toute esthétique particulière. Il faut que je change aussi les sièges. Ils ne me conviennent pas. Je m’y suis assis à peine 5 minutes que déjà mon dos et mes fessiers réclamaient les mains expertes d’un collègue kiné… ou d’une belle femme ! Mais je doute d'avoir le droit de modifier le mobilier. Dommage. Je serais bien installé là.

On m’a ensuite présenté ponctuellement et de manière très officielle chaque membre du personnel. Les psychiatres, les garde-fous (quel nom atroce), les infirmières et infirmiers. Vois-tu un malade c’était faufilé parmi eux… Apparemment c’est une chose fréquente puisqu’il se prend à croire qu’il fait partie du corps de médecin. Il n’est pas dangereux alors les infirmiers se sont habituées à sa présence. Après un échange cordial avec eux nous reprenons la visite et ces hommes et ses femmes continuent de s’affairer au « maintiens de la sécurité ». Est-ce une prison ?! Il faut vraiment du sang neuf.

La visite se poursuit dans la salle commune, chacun se regarde, s’analyse ou à contrario se croient tout seul, ou plusieurs dans leur tête... Il y a du travail ici. La salle a une décoration à en faire pâtir toute femme. L’endroit manque curieusement de féminisme, de gaieté. Comme mon appartement me diras-tu. Les cellules sont des cellules… Il n’y a rien à décrire à part l’incroyable obscurité des lieux à cause du peu de réelles fenêtres. Ici les malades sont coupés du monde. Au fond se trouvent les cellules des plus dangereux, j'observe leur habitacle, leur lieu de vie et me dis que je ne suis décidément pas à plaindre avec ma chambre. Tous les patients doivent sortir de leur cell... chambre la journée, m’a expliqué le directeur qui me faisais visiter et prenait une joie non dissimulée à me raconter anecdotes et protocoles. Je ne l’aime pas et je me demande même si je ne devrais pas lui céder l’une de mes consultations pour vérifier qu’il est bien sain d’esprit.

Papa... dehors… Quel cache misère y a-t-il ! Les fleurs, l’herbe, les buissons taillés, le soleil qui vient tapés sur les crânes des malheureux déjà trop sonnés par les médicaments assourdissant. N’importe quel initié verrait le malheur que cache le jardin. Il y a du travail ici. Beaucoup de travail. Je te laisse, il faut que je commence dès que possible, ces patients ont besoin de quelqu’un.

Ton fils adoré. Bréwen.

rhou, je n'ai pas le temps de tout lire mais je vais dévorer ça.
je te souhaite la bienvenue parmi nous, si jamais n'hésite pas.

Bienvenue sur le forum Docteur Lacken, à votre écoute. 1353502484

**PRESENCE** : 20/05/2013 - membre du personnel

merci vous deux ♥

Je ne connais pas l'avatar, mais il a bonne mine Docteur Lacken, à votre écoute. 3402202886

Le personnel s'agrandit, so nice...
Welcome here!

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Il en faut bien du personnel pour tous ces malades!!
Merci bien! = D

Bienvenue doc ! Docteur Lacken, à votre écoute. 2939654614

Daniel en psychiatre.

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Merci Spencer, merci Espir !
Hâte de rp avec vous *_*

Daniel en psy je trouvais ça cool et puis le costard lui va si bien!

alors, avant de te valider je tiens à souligner que tu as fait quelques fautes de conjugaisons, rien de bien grave mais essaye de les corriger en te relisant. de plus, tu as décris des salles qui n'existent pas à giercliff, et la description du bureau ne convient pas à celle faite - commune à tous les bureaux -, alors je t'invite à aller lire les lieux pour revoir ça.

**PRESENCE** : 20/05/2013 - membre du personnel

Pour me justifié: lorsque j'ai fais le texte, je n'avais pas vu tout ça. Mais je me remets au travail alors pour modifier le tout... Je vous tiens au courant quand c'est fait...

Daniel en psychiatre, retenez moi. Docteur Lacken, à votre écoute. 2376873690

un collège, qui plus est, du coup. Docteur Lacken, à votre écoute. 1763403685

bienvenue par ici Docteur Lacken, à votre écoute. 2407254944

**PRESENCE** : 20/05/2013 - membre du personnel

Merci bien ! =) J'ai hâte de travailler avec toi alors! =)

comme l'avait dit Faustine, il y a encore quelques petites fautes par ci par là, mais rien de grave, fais simplement attention. I love you

et pour les lieux, c'est parfait comme ça, tu es donc validé. Docteur Lacken, à votre écoute. 2407254944

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